lundi 29 juin 2020

Penne Blanque

Samedi 27 juin : grotte de Penne Blanque (31) – réseau du Maillon manquant

(Hors club Airbus suite aux directives CE)

 

Participants : 8 personnes du club de Montpellier + Pascal et Agnes.

TPST :13H30


Après une heure de marche, nous mangeons à l'entrée de Penne Blanque. Nous ne sommes plus que 9 quand nous rentrons sous terre à 13H00.

3h plus tard, après une descente sans frein jusqu'au passage de la boîte aux lettres, il faudra motiver la troupe en arrivant dans la « Salle du Dromadaire » qui est souvent un point de chute pour de nombreux groupes.  Nous continuons en descendant la salle (suivre la paroi de droite) jusqu'à une jolie galerie plate barrée plus loin par un effondrement qu'il faut franchir grâce à une main courante. A noter à cet endroit l'arrivée de la grande traversée 3m au-dessus à droite. C'est en fait la galerie qui mène aux câbles (départ des puits arrosés) et qui rejoint le « puits du Calvaire ».

Nous continuons par un ressaut descendant, puis une galerie remontante à gauche. Nous arrivons sur un passage en opposition, équipé récemment par Pascal, mais broché par les BE. Après un petit ressaut descendant rééquipé lui aussi, les BE ont laissé une corde à nœuds pour remonter en face. La suite est simple mais nous posons une main courante car le passage sur une vire descendante est glissant. A ce niveau, nous nous trouvons à la porte de la « Salle du Brouillard », et il faut prendre à gauche un plan incliné remontant puis rester légèrement à droite en direction du « Puits du Brouillard », dont le volume se devine sur la droite. Attention à bien le contourner en prenant une vire sur le bord à gauche (cachée par les blocs). La vire passe mieux qu'avant. En effet, il faut ramper au bord de la lèvre du puits … et il n'y avait qu'une corde en place plutôt lâche mais les ancrages ont été aussi arrangés récemment par les BE. A sa sortie, nous sommes dans le « Réseau Bermochoi » qui est relativement paumatoire. Il faut basculer de-suite dans une galerie à gauche descendante et qui « tortillonne » jusqu'à déboucher sur une paroi équipée grâce à une « via cordata » soigneusement équipée de broches pour rejoindre une jolie galerie remontante en tube bien rond, 20 m au-dessus. Attention au cheminement du retour, ne pas descendre dans la salle du bas qui n'aboutit nulle part.

Au bout de la belle galerie en « métro », la suite se trouve dans un passage bas et par un court quatre-pattes débouche dans une salle sous un pendage, qu'il faut remonter en passant sur des blocs. C'est dans ce réseau où généralement les groupes se perdent. Petit conseil au retour, rester bien contre la paroi de droite, avec le courant d'air, vous ne pouvez pas louper ce petit passage. Nous sommes sous la « salle de la Revanche ». Nous continuons sur les gros blocs pour remonter au maximum en suivant le pendage. La fracture d'accès au puits remontant de 20m, nommé « Le Mistral Gagnant », se trouve en haut à droite (juste avant un passage qui semble plus évident). Suivre de toute façon le courant d’air.

Nous perdons du temps dans cette diaclase glissante à cause du pendage et d'un fractionnement pendulaire ; il est immédiatement renommé par le groupe « Le Puits Ch…ant ».

La « salle de la Revanche » est une grande salle. Quand tout le monde est là, nous continuons notre progression pour, quelques dizaines de mètres au-dessus et contre la paroi de droite, franchir un passage étroit et ainsi déboucher dans la galerie du « Maillon Manquant » de très belles dimensions. Nous prenons à gauche vers le « Delta ». Pour information le départ du «Méandre Confiance » autre accès pour atteindre la rivière se trouve dans cette zone. A partir du Delta, les volumes sont très grands et nous suivons la paroi de gauche pour descendre dans un effondrement afin de remonter en face dans la galerie nommée « Avenue du Futile » qui continue vers le « Blanc de Blanc ».

A partir de là, la progression n'est pas compliquée mais les équipements en place seraient à remplacer. Après la « Coulée de Champagne » et un passage au bord d'un gros effondrement dans le sable (pose d'une main courante recommandé) la galerie change de configuration. Il faut remonter à droite pour aboutir dans un passage qui offre deux possibilités. Le Fond de la galerie Futile se trouve en remontant une escalade de 5 mètres qu’il faut rééquiper. Jean Michel prendra du temps à nous arranger un meilleur équipement.  Il faut absolument rééquiper une prochaine fois et particulièrement la petite vire, passage obligé pour arriver au « Blanc de Blanc » qui est un magnifique pilier couleur neige de plusieurs dizaines de mètres et dont sa base démarre dans un gour profond. Nous passons sur une vire à mi-hauteur en empruntant une main courante glissante et une descente de 4 mètres. La suite est une grande galerie qui donne sur un toboggan assez raide. Nous posons une corde pour descendre, passons une escalade équipée de 9 m et descendons de l'autre côté. Un court boyau remontant mène dans la très grande salle finale. Nous ne savons pas où poser nos pieds. Cet endroit mérite une protection discrète mais efficace. Si vous y allez, sachez le protéger.

Apres quelques photos nous remontons et retrouvons le groupe de 3 personnes qui s’était arrêté au « Blanc de Blanc » et qui tournait en rond sous la salle de la revanche… classique ! Nous trouvons assez d’eau pour ne pas avoir soif dans le bidon qui est dans la petite salle avant la « boite aux lettres ». L’ensemble du groupe s’étale dans la remontée.

Tout le monde est dehors à 2H30 heures du matin. Petit retour avec la remontée du col de Couenque… 1 heure plus tard nous sommes tous à la voiture et retour … endormi chez le copain Franck à St Julien. Nous ferons les grillades prévues à l'origine pour le Samedi soir …le dimanche midi … dodo !



vendredi 26 juin 2020

Sortie Vendredi 26 juin

Tour des trous de la Coume – Massif d’Arbas -31  (Hors club Airbus suite aux directives CE)

Après avoir lancé un appel à la suite du confinement, Pascal et Agnes accompagnent un collègue et son fils découvrir le massif d'Arbas. Il est 9H30.
Nous commençons par la résurgence du Goueil que nous visitons sur les 10 premiers mètres. Le changement de température est saisissant. Un brouillard s'échappe de l’entrée. En effet il fait très chaud dehors. Le temps menace à l’orage. Nous reprenons les voitures pour rejoindre le parking de Pene-Blanque. La montée vers PDG va être écrasante. Nous passons devant certains trous et en ratons d'autres (le Quebec, le Bernard, le Barnache, le Cherif, le Jean-Denis, le sahel, le Pierre, le Michel, le Caractère, la Henne Morte, le H24,le Sarat dech Mene, la Coume Nere que nous parcourons sur 20 m à peu près ( un vrai frigo) , le Framboisier), et en découvrirons d'autres … avec toujours beaucoup de courant d'air froid. La forêt est toujours fidèle à elle-même : tronc d’arbres en travers, pentes raides, lapiaz agressif, dolines à contourner, trous à éviter … Nous arrivons sur la crête et atteignons le gouffre de la « Fraternité » qui constitue la tête de réseau. Nous redescendons en passant près de trous mythiques : les 2 Jean Paul, Le Plantillet, La Coquille, la Couquette, le Mile, les Hérétique, le TDV, le Duplessis … mais voilà qu'il pleut et il est près de 17H00. Retour à la voiture par le chemin des câbles. Au café nous rencontrons l'auteur du livre de la synthèse de la Coume… l'illustre Sylvestre Clément. Il nous fera, par la suite, un commentaire sur les trous souffleurs non-identifiés et qui prêtent à quelques questionnements. Il faudra retourner voir ça sur place.

 

mercredi 24 juin 2020

Gouffre du Pic d’Areng - Êpisode 2

23 juin 2020 : Gouffre du Pic d’ArengFerrère (65) -  Participants : Gustave A. - Sylvain Z.






 

L’objectif est de terminer l’élargissement des chatières en tête du puits de l’Écho. En fin de journée, après de bonnes heures de labeur, le passage est aménagé de manière tout à fait convenable pour permettre la progression avec 2 kits.

 


 



  
    


vendredi 19 juin 2020

Gouffre du Pic d’Areng - Êpisode 1

18 juin 2020 : Gouffre du Pic d’ArengFerrère (65) - Participants  Gustave A. - Michel S. - Sylvain Z. 

                                                           



L’objectif de la sortie est de faire découvrir le gouffre et son cadre magnifique à Michel et en particulier d’élargir les 2 chatières en tête du puits de l’Écho afin de permettre une remontée aisée avec 2 kits lors des périples au fond du gouffre. Nous consacrons la journée à cet élargissement dans une roche bien dure et en clef de voute. Seul Sylvain descendra en bas du puits de l’Écho pour mettre à l’abri des chutes de pierres les réserves de jus de fruit entreposées initialement au bas du puits.

 

lundi 8 juin 2020

Prospection Mont Ceint

Vendredi 05 juin 2020
participants : Philippe, Claude (Le Capitaine), Jean-Marc


Rendez-vous à Coumebière

Sortie prospection dans le brouillard secteur Bizourtouse - Clos d'Ingarol pour retrouver/repointer des cavités un peu oubliées de ce secteur lunaire avec un ancien de la Cordée Spéléologique du Languedoc. Au milieu de dizaines de puits à neige et de dolines bouchées, quelques trous intéressants (Clos d'Ingarolle, Jela) à revoir avec des techniques modernes.






dimanche 7 juin 2020

Aven Jean Bernard

Mardi 2 juin 2020

Sortie interclub, participants : Philippe, Jean-François, Bruno, Adrien, Jean-Marc.

Sortie de reprise dans cette belle classique dans le but de faire équiper les débutants et de faire quelques photos.

Marche d'approche un peu laborieuse, la nature ayant apparemment profité du confinement pour reprendre ses droits, plus de sentier et des ronces jusqu'au poitrail.





















mercredi 3 juin 2020

Sortie Lot 2 juin : Igue de Toulze -100 (46)

(Hors club Airbus suite aux directives CE)

Participants : 8 personnes du club de Montpellier et un membre du club Airbus.

Nous arrivons au bord du trou lorsque qu'un groupe de 4 personnes nous rejoint. Nous décidons d’équiper en double. Le responsable de l'équipe qui nous suit constituée de débutants en baudrier d'escalade, jettera les cordes dans les verticales sans fractionnement. De beau et gros frottements  rendront leur remontée périlleuse et compliquée. De notre côté, nous nous arrêtons au lac sans le passer. En effet le petit bateau en notre possession est instable et après avoir coincé la corde de rappel sous l'eau, les garçons tentent une main courante. Finalement, têtus, ils installent une tyrolienne sur …dynema. Les filles en profitent pour remonter prendre le soleil.