mercredi 21 août 2024

Matte Arnaude

Mercredi 14 août - Participants : Agnès + 1 ami.
Cavité qui s'ouvre dans le massif au-dessus de Trassanel.
Cette cavité qui descend à plus de 400m pour rejoindre les grandes galeries de la rivière de Cabrespine.
Nous mangeons à midi sur le parking à quelques dizaines de mètres de l'entrée où nous regardons les topos de Matte Arnaude et Cabrespine pour avoir une idée de la visite que nous allons effectuer.
Lors de la précédente visite de cette galerie, je m'étais arrêté proche des -300, où nous avons finalement dû faire demi-tour par manque de temps.
Nous allons donc essayer d'aller plus loin que la fois précédente.
Après s'être rassasié au parking, nous passons l'entrée de la grotte à 12h30.
Nous suivons les balises, bien positionnées, mais malgré ça après une dizaine de minutes de progression nous nous trompons à la bifurcation et prenons à gauche... nous tombons face à un passage étroit bien en pente, et un rétrécissement, jusqu'à ne plus pouvoir avancer... et ... je n'ai pas le souvenir d'être passé par là la fois précédente. Nous comprenons rapidement que ce n'est pas le bon chemin et perdons 20 minutes.
Nous poursuivons en suivant les balises, continuons la descente. Toujours émerveillé par ces magnifiques concrétions.








Nous passons la galerie fossile et arrivons dans l'active. Les gours sont secs et le ruisseau pas très actif, quelques flaques d'eau par-ci par-là. Autant de signes encourageants!
Nous passons les étroitures sans difficulté, toujours un courant d'air bien présent.
Il est aux alentours des 15h45 quand nous arrivons au siphon à -415, qui est sec et qui souffle énormément.
Nous avons envie de continuer, la rivière n'est pas loin derrière...
Nous décidons cependant de faire demi-tour, sachant que la remontée sera plus longue que la descente et les personnes à la surface ont été prévenus que nous ne sortirons pas trop tard.
En effet, avec un sac extrêmement lourd, la remontée est plus difficile, nous nous arrêtons plusieurs fois et échangeons le rôle du porteur du sac.
Dans une grande et magnifique salle concrétionnée (dont je n'ai pas le nom), nous nous arrêtons de nouveau pour déguster un bon saucisson qui nous redonne des forces.
À la moitié du trajet retour, nous vidons les gourdes, pour nous alléger davantage. Notre sac pour deux est encore bien trop lourd et après tout ce trajet parcouru nous en ressentons davantage son poids... ( le sac contient du matériel pour filmer, un mini projecteur, une gourde en métal, bouffe...)
Nous sortons finalement à 19H30.
 

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dimanche 11 août 2024

Camp spéléo du 4 au 10 août Cantabrique

Nous avons réservé un camping à Ramales au cœur du massif calcaire où se sont formés plusieurs réseaux souterrains pouvant aller pour certains  jusqu'à plus de 80 Km de développement. Le lieu est remarquable car central avec ses accès aux divers réseaux dont la plupart sont formés de grandes galeries ventées. Certaines entrées sont de larges conduits qui, autrefois, pouvaient expulser des rivières, mais qui aujourd'hui  laissent s'échapper de violents courants d'air.

Participants au camp: Jeff et Martin (31), Chantal et Jean Pierre (46), Luc (46), Yann (48), Pascal et Agnès du club
 
Dimanche 4 : installation du camp avec 3 Barnums pour la vie commune et le matériel.
Jeff et Martin s'occupent de l'intendance et des repas, nous aidons comme nous pouvons. Il ne manquera de rien, 2 glacières assurent le frais. Il fera bon durant les 6 jours avec un jour de pluie.


Lundi 5 : Gandara - 8 personnes
Nous partons pour mettre en place la corde dans le P40 qui nous servira à sortir lors de notre  traversée prévue le lendemain qui est le seul puits non équipé de la traversée. A part une main courante d'accès au fond de l'immense salle d'entrée qui permet de passer au-dessus d'un P50, nous cheminons dans des grandes galeries, puis, une conduite obligatoire (il faut se vouter avec de courts moments de 4 pattes) donne sur une belle galerie pratique et facile. Luc, Yann et Pascal équipent le P40 pendant que nous faisons demi tour -TPST : 4H30.
Mardi 6 : Traversée Caligrafos - Gandara
Je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit, le trac de la traversée. Mais apparemment je ne suis pas la seule ..J'ai lu et relu la topo. Pascal et moi étions allés jusqu'à la salle Catane il y a 10 ans en aller/Retour avec les anglais. Nous en gardons peu de souvenir.
Personne ne connaît et cette traversée, la plus longue d'Europe avec 12 km de long sur 650 de dénivelé est réputée pour etre exigeante, paumatoire et comptée en 22H00 sur le dernier descriptif. Nous avons cependant visionné un film d'un groupe speleo espagnol marquant 18H30. Nous nous basons sur ces horaires pour calculer "les portes horaires". Un petit détail : il y a un certain engagement car passé un certain niveau, il ne faut pas compter sur des secours vu l'éloignement des entrées et les passages étroits qui nécessiteraient plusieurs jours de désobstruction.
Nous quittons le camping à 8H00 ( heure d'ouverture de la barrière) et entrons dans Caligrafos à 11H00 après 40mn de marche d'approche. 
Première partie : Entrée Caligrafos - salle Catalane
Il faut commencer par du 4 pattes puis avancer régulièrement courbé pendant 1H30. Tout est balisé et nous voilà vraiment rassuré, ce qui nous permet d'avancer rapidement. Nous repérons tout de même les passages sur la topo : salle de l'Union, salle Arena, salle de la Sardine à la Grosse Tête ( attention bien suivre le balisage, salle Scooter et enfin salle Catalane. Sur ce cheminement il y a un court et facile passage exposé au-dessus de 5 m de vide et une désescalade que nous choisissons, vue l'engagement, de faire en rappel (oui on a pris une corde quand même!). Nous sommes larges car nous y parvenons au bout de 4H00. 
Deuxième partie : le Rio Viscoso - bivouac 3
Apres une desescalade d'une diziane de mètres en colimaçon et dans de l'étroit depuis la sol de la salle Catalane (entre des blocs), nous tombons sur une galerie large et basse au sol noir avec de jolies formes de vagues témoignant du passage de l'eau. Le rio est dessous et nous le voyons à travers des nombreux trous qui marquent la progression, et qui "attrapent" le kits qui trainent derrière, obligeant de le porter à la main tout en avançant à 4 pattes ou courbés. Ca glisse par endroit, les passages aériens ont ete sécurisés par des mains courantes, nous rencontrons un loir (?) et nous mettrons 4 heures pour en sortir.
Troisième partie. Bivouac 3 - salle des P100
Un ressaut remontant de 5 mètres montre la fin du rio (dernier point d'eau) et nous tombons sur le bivouac 3, c'est grand,  puis rapidement au bas du P50 à remonter. La suite, appelée galerie Myote, n'est pas de tout repos, même si nous évoluons dans de grands volumes. Elle est entrecoupée de remontées sur cordes et d'énormes blocs à escalader et à descendre, mais dans l'ensemble elle ressemble à un gros couloir d'éboulis remontant jusqu'à la salle du carrefour. Prudence car nous débouchons dans de l'énorme au-dessous d'un des P100, puis passons entre les 2 énormes P100 en traversant le haut d'un énorme bloc. Puis, une main courante nous mène à une suite (remontée de 8m). A partir de ce point, tout devient facile.Nous avons encore mis 4H de plus.
Quatrième partie: Les  P100 - Sortie (temps progression : 4H00)
Nous avançons dans des galeries équipées de MC et de ressauts remontants (entre 5 et 10 m). Nous descendons dans les galeries en colimaçon dites passage 'Caracol" pour cheminer dans de très grands volumes qui brillent de partout du à la présence de gypse. Nous passons au bord d'une longue falaise, le sol commence à monter et nous  finissons par une escalade sur une rampe qui débouche dans l'immense salle Angel de 100 m de haut. Nous arrivons au sommet en suivant un sentier équipés de mains courantes remontantes et nous laissons le vacarme de la cascade au fond. Après 3 petits ressauts nous sommes enfin à la base du P40 (après 2H30 de progression), reste à le monter et à le déséquiper. La suite est connue depuis le premier jour et nous sortons à 3H00 du matin. Nous avons mis au total 16H00 à 4. 
Le temps de descendre, récupérer la voiture au col du départ (40mn de route) et nous arrivons endormi au camping vers 5H30
Pour info, sur 16H00, nous avons bien progressé 5H00 courbés ou à 4 pattes ...sortie exigeante donc. 
Mercredi 7 : repos  - Il pleut
Jeudi 8 : visite des galeries de Fresca jusqu'à l'arrivée des rappels de Tibia - Jean Pierre qui s'était tordu la cheville après la première main courante, est enchanté d'y retourner. Il faut compter 45 mn de marche d'approche. Nous sommes tous les 8. IL n'y a aucune difficulté car les obstacles sont équipés sur cordes, ce qui nous donne 5 MC et une montée et descente au départ de 8 m. Mis à part 2 courts laminoirs qui décoiffent au vue du courant d'air qui y circule, nous cheminons dans du très grand. Cependant, nous y passerons 5 heures car les passages sur cordes sont un peu longs, puis nous vérifions souvent la topographie et nous prenons notre temps. L'arrivée des rappels se situe dans une très grande salle d'effondrement que nous observons d'en haut. Au retour, avant de passer la dernière main courante, Jean Pierre part visiter une galerie annexe et en revenant glisse et se fait mal au dos... pratiquement dans la même zone où il s'était tordu la cheville dans le passé .. bizarre non ? Il aura du mal à redescendre et termine l'aventure speleo du camp sur cette chute.
Vendredi 9 : visite des galeries de Canuela jusqu'à l'arrivée des puits de Tonio.
Nous sommes 6 personnes. La trace GPS du site nous décale dans la marche d'approche (45 mn). Il faudra "bartasser" pour revenir sur le chemin d'accès à cette belle cavité, grande classique des Cantabriques avec une des plus grandes salles d'Europe.  (salle Olivier appelée souvent La Verna Espagnole)
Alors que nous sommes en sueur, le courant d'air nous prend de haut, un brouillard sort de la galerie immense de l'entrée.
Une très longue main courante au-dessus d'une galerie à -20m permet de rejoindre le départ de la progression. 


Il n'y a aucune difficulté mis à part quelques cordes à passer (ne dépassant pas 10 m de haut). Nous marchons dans du très grand, vérifiant le cheminement sur la topo car de nombreuses galeries indiquées mènent dans les étages inférieurs. 
Ces magnifiques galeries nous mènent à l'une des salles les plus impressionnantes, où de nombreuses stalactites en forme de scie égoïne (ou sabre) paraissent figées par le passage du temps et le souffle du vent, certaines étant même à hauteur de nos têtes. On a l'impression de se retrouver au fond de l'océan, entourés d'algues minérales suspendues depuis la surface... C'est un lieu grandiose, digne d'un décor de film fantastique.
Un pas au-dessus d'un méandre où l'eau circule à plus de 20 m au-dessous et nous arrivons sous la trémie de la salle Olivier, salle terminale. Un puits venant de l'aven de Tonio y tombe dedans par un P20. Nous montons les 100 premiers mètres de dénivelé de cet effondrement grandiose, il fait chaud!!
Nous sortons après 5 heures de visite.
Samedi 10 : démontage du camp
Retour à 20H00 pour Blagnac (6H00 de route)

Gouffre du Cerf (Coume Ouarnède)

 27/07/2024 - Participants: Pascal, Bernard, Nicolas

 Le Cerf est un trou situé à côté du sommet de Paloumère mais sur le versant qui tombe côté Aspet au-dessus du trou de Rieussec-Burtech.

Nous remontons la piste au delà du parking de la fontaine de l'Ours avec le 4X4 pour nous garer au niveau du passage canadien (un peu avant le refuge de Roquepi)
Nous décidons de monter en short (il fait déjà très chaud, il y a alerte orange canicule pour le lendemain) mais cela implique de porter tout le material sur le dos !
Nous montons à travers les prairies, puis par le chemin de Paloumère (c'est rude et la sueur coule à flots !) jusqu'à atteindre la clôture en grillage juste avant le sommet. 
Nous descendons ensuite sur l'autre versant en longeant la clôture et, en continuant dans le même axe après le clôture, on tombe très vite sur l'entrée du trou (1h depuis le passage canadien).
On mange dehors puis on équipe le puits d'entrée, tous les autres puits sont normalement restés équipés.
Nous descendons par les méandres, les petites salles et les quelques petits puits en suivant un petit ruisseau qui est bien souvent caché sous nos pieds.
Nous atteignons le grand puits (et nous laissons la main courante qui va de l'autre côté vers une escalade)
Au bas du grand puits, nous continuons la progression jusqu'au point le plus bas de la cavité (corde du dernier ressaut à poser): c'est une petite salle d'effondrement avec un énorme bloc au milieu (gros comme un camion !) et à cet endroit, l'eau s'infiltre sous les blocs d'une trémie. Il nous prend l'envie de "gratouiller" dans ces blocs mais après avoir creusé sur près d'1M50, nous comprenons qu'on n'arrivera à rien !
Nous remarquons que, juste à côté de notre trou, il semblerait qu'un méandre démarre mais il est entièrement bouché par les blocs issues de l'éboulement de la trémie (qui démarre un peu au-dessus, derrière l'énorme  bloc). 
Nous décidons de faire descendre les blocs ...qui atterrissent tous dans le trou que nous avons passé tant de temps à creuser !!!
Il devient nécessaire de monter en haut de la petite salle, derrière l'énorme bloc, pour faire descendre les blocs qui sont en surplomb du méandre.
Après avoir bougé des tonnes de blocs, nous réalisons que la quantité de blocs à faire descendre est gigantesque et il va être temps de rentrer car nous voulons aller voir d'autres passages potentiels.
En remontant juste au dessus du premier ressaut, nous remarquons sur la gauche une sorte de diaclase inclinée et étroite qui a l'air de remonter loin, nous allons y faire un tour mais cela conduit juste à un méandre très étroit avec une arrivée d'eau (qui tombe dans la salle en dessous). Nous évacuons cet endroit pour aller revoir dans la salle au-dessus une escalade que nous avions initiée il y a deux ans. 
Nous reprenons cette escalade qui est en fait une succession de vires au-dessus du vide provoquée par un surcreusement très marqué. Bernard et Pascal s'arrêtent au pied d'un ressaut délicat ou une courte échelle permet à Nicolas de remonter loin au-dessus. Il continue à remonter, apparemment très haut, toujours par des vires dans un méandre mais toujours au-dessus du vide ! 
Il redescend au bout d'un moment et nous rejoignons tous la salle en dessous pour entamer la remontée vers la sortie. Après s'être trompé à un carrefour, et avoir visité une galerie sèche bouchée, nous atteignons la sortie vers 21H: Il fait encore jour. Nous refaisons les sacs, puis nous entamons le long parcours du retour qui est en descente maintenant et "à la fraîche" (ouf !)
Retour à Toulouse vers 11H30.

Sortie spéléo à la Pierre Saint Martin (64)

 Participants : Franck, Marie, Jean Luc, Yann, Pascal, Agnès

  Nous arrivons en voiture au niveau de la porte d'entrée du tunnel EDF. Nous rencontrons 3 amis spéléos équipés d'un parapluie car il tombe des cordes. Un coup de bol car il me faut aller derrière la cabane dans laquelle nous nous sommes tous réfugiés. Pendant ce temps, Franck et Pascal redescendent les voitures qui n'ont pas le droit de rester à cet endroit. Ils reviennent après 40 mn à pied et sous l'eau en ayant oublié la clé du tunnel EDF .. dans la voiture. Il est 11H00. Nous rentrons avec le groupe en place, là aussi, coup de bol car il est possible de sortir du tunnel sans clé, mais pas d'y rentrer. Nous profitons d'une salle La Verna illuminée grâce aux spots dont l'interrupteur est trouvé par Franck. Les passerelles montées depuis le dernier aménagement du barrage nous guident dans une galerie intermédiaire qui conduit au passage Gibraltar. Pour l'atteindre, il faut, après un cheminement dans des blocs au bord de la rivière, passer une longue main courante en hauteur, puis gravir un plan très incliné qui finit par une fracture de 10 m de haut équipée d'une corde . Il est midi lorsque nous entrons dans la salle Chevalier. La progression, toujours sur blocs, nous dirige après une belle montée, sur une galerie presque en plafond d'où arrive la rivière par un passage bas. Il fait très chaud malgré les 5 degrés qui règnent. Nous repérons le shunt en cas de montée des eaux. Après le passage au ras de l'eau, nous attaquons la salle Adelie. Il faudra rejoindre les plafonds à plus de 60 m au-dessus. Nous laissons pratiquement toujours la rivière dont son lit coule au fond des éboulis formés de blocs plus ou moins gros et plus ou moins stables. Là encore il fait très chaud. Il est 13H00 et mangeons au sommet. La température ambiante nous rattrape et nous repartons vers la salle Queffélec qui monte et descend. Les marquages sont nombreux, chacun ayant mis le sien depuis toutes les années. Mais, certaines balises sont plus visibles et marquent le retour vers La Verna. Nous atteignons une corde de 10 m descendante, c'est l'entrée de la salle du Métro. Bien que horizontale, elle demande des efforts de progression et... n'en finit pas, car elle fait près de 800 m de long. Fait suite la salle Loubens, et de cols en cols nous arrivons au fond de la salle Casteret avec l'arrivée en plafond du SL19. Il faut monter plus de 80 m de dénivelé pour atteindre la petite remontée sur corde qui marque l'entrée de la salle de l'Épineux. Encore le même dénivelé et nous sommes au sommet de celle-ci. Nous venons de passer sous le puits de l'Épineux, première entrée trouvée de la Pierre Saint Martin avec 320 m de vertical absolue, connu également par l'accident en 1952 entraînant le décès de Marcel Loubens, après une chute de 20 m suite à une rupture du câble lors de la remontée. Franck et Marie font demi-tour après etre passés devant l'épitaphe installé à sa mémoire. Jean Luc propose de les suivre. Il nous reste une dernière salle pour arriver au but qui est le Tunnel du Vent. Je pousse Jean Luc donc à aller jusqu'au bout. Il nous faudra 1H30 pour la traverser et à 17H30, nous prenons la photo devant le Tunnel du Vent qui est l'arrivée de la traversée depuis les amonts de cette rivière capricieuse, connue pour ses fortes crues. Aujourd'hui, un fort courant d'air en sort, témoin que le passage ne siphonne pas. Le retour est comme je me souvenais, beaucoup plus tranquille et plus rapide dans le sens de la sortie car les dénivelés sont plus descendants que montants et l'itinéraire plus évident car balisé dans le sens de la sortie. Nous faisons quelques pauses pour récupérer de l'eau et malgré ces arrêts, nous sortons à 9H30 du tunnel EDF après etre passés voir l'entrée Arphidia, cavité borgne ouverte lors du percement du tunnel EDF. TPST: 10H30